Pauline Sol Dourdin et Elodie Francheteau
PAULINE SOL DOURDIN
Parallèlement à un cursus universitaire en Lettres et Management du Spectacle Vivant, je multiplie les expériences de danse. Reçue à l’École Michel Hallet Eghayan de Lyon, je complète mon itinéraire par des rencontres humaines et artistiques prépondérantes, entre-autres au côté de Régine Chopinot, Jean-Christophe Paré, José Cazeneuve, Christine Rougier. Je deviens interprète pour les compagnies 29x27/Matthias Groos et Gaëlle Bouilly et Grégoire & Co/Sylvie Le Quéré. Je cosigne plusieurs créations collectives telles que Nosotros Trio/Ar Jaz, DéKoeff, Regards Croisés avec la plasticienne Dominique Potard. Depuis 2011 je collabore en tant qu’interprète avec Kathleen Reynolds/Ambitrix. En 2014 je rejoins la Dancing Playing Party, laboratoire de Danse et Musique improvisées initié par Frédéric Bargeon Briet (Nimbus) qui s’articule autour des rencontres « The Bridge », une dynamique d’échange entre musiciens de France et de Chicago. Dans le même temps je développe un travail d’auteure porté par Ambitrix et mène une réflexion engagée sur l’identité et le corps construit. En 2008 je signe OLGA, libre interprétation d’Olga ou pourquoi j’ai cousu ma chatte, monologue de Lolita M’Gouni (éd. les Ames d’Atala). J’entame en 2012 une série de performances intitulées {CORPS EN CHANTIER}, un cabinet de curiosité où la figure hybride illustre une personnification d’émotions qui s’entrechoquent. Ces expériences diverses m’amènent à jouer tout autant en salle de spectacle, en espace d’exposition ou en espace public. En 2016 j’obtiens le Diplôme D’Etat de Professeur de Danse Contemporaine et m’investis au sein du SEPT CENT QUATRE VINGT TROIS, lieu artistique et pédagogique Nantais destiné à la danse et créée par la Compagnie 29x27.
ELODIE FRANCHETEAU
Diplômée du Conservatoire National de Danse de Nantes et Paris en danse contemporaine, elle affirme depuis 2006 un désir de montrer la danse à travers l'image.Née d'une volonté de faire connaître un autre outil de langage à part entière dans un univers où la danse contemporaine n'a pas encore sa place, la démarche est surtout de développer un travail par la rencontre du mouvement et du cinéma. Avec Appartement 27 et Tocqueville, la danse par l'image va au -delà de la scène et donne de nouvelles perspectives. Le film permet d’explorer plus loin le geste et les émotions, sous des angles de vues différents. «Cinedanse » est né de ces deux films et propose en parallèle ses services auprès des chorégraphes pour la réalisation de leurs projets de captations ou de vidéo danse.